" La confiance est un élément majeur : sans elle, aucun projet n’aboutit. "
Qui que nous soyons , nous sommes amenés à prendre la parole dans notre sphère personnelle et professionnelle. Prendre la parole face à un groupe est un acte fort engageant et impliquant. Nous y mettons souvent un enjeu important et quelque fois surdimensionné. Notre appréhension à parler devant un public quel qu’il soit (proches, collègues, clients, supérieurs hiérarchiques, …) vient souvent de nos propres jugements intérieurs sur notre légitimité à être, à dire, à être écouté, vu, regardé, à penser différemment, …Sur cela s’ajoute notre peur du regard des autres quant à notre droit à être aimé, à aimer, … Notre petit vélo intérieur pédale à toute vitesse et nos jugements pleuvent.
Toutes ces voix viennent paralyser notre esprit. Notre bavardage incessant nous vole l’énergie nécessaire et vient augmenter notre stress.
La confiance à l’oral fait la différence.
La confiance en soi à l’oral a un impact qui va bien au-delà du comment bien dire de l’éloquent. Face à un auditoire, elle vient d’abord impacter notre langage non verbal.
Renforcer sa confiance est une clef pour réussir et se dépasser. La confiance à l’oral vient agir sur des points fondamentaux de notre vie quotidienne. Elle est notamment un ingrédient essentiel pour affirmer sa singularité, décrocher un entretien, prendre sa place au cœur de toutes nos relations.
Croire en soi va de plus venir indirectement impacter notre ouverture aux opportunités. Si je ne crois pas en moi, je ne postule pas au poste qui me correspond et je n’ose pas plus négocier un salaire avec mon boss si je ne connais pas ma valeur. Si je sors d’une posture d’enfant face à un supérieur, je rentre dans une posture responsable qui va venir me fortifier.
La confiance en soi à l’oral permet de sortir de sa planque , de mener une réunion pour le mieux, d’oser demander de l’aide dans sa vie personnelle, de sortir du regard de l’autre comme prisme de son droit à être aimé, d’oser exprimer son opinion sans peur du quand dira-t-on.
C’est une source de liberté et de bienfaits qui mérite d’être renforcée.
Ne fais pas d’obsession sur le résultat. Cela te mettrait la tête dans le guidon et te ferait perdre tout objectivité sur ce qui se passe vraiment. Prend du recul. Observe ce qui est et lâche-prise sur ce qui n’est pas encore. Restez ouvert sur l’inconnu. C’est une chouette zone d’apprentissage que de vivre l’instant présent.
Je vous souhaite le meilleur des départs vers cette nouvelle année avec de la sagesse et un grain de folie ! Je vous souhaite également beaucoup de place pour l’inattendu qui vient toujours nous surprendre, pour l’audace qui pousse vers l’inconnu et de multiples aventures avec ceux que vous aimez ! à bientôt
Tu hésites encore ?
Te retourner en arrière une fois que tu as posé un choix, ça te parle ? La bonne nouvelle , c’est que chaque jour tu peux faire un choix et t’engager à le suivre. 
Quel est ton besoin prioritaire du moment ?
Autant de choix qui peuvent rester en suspens quand il s’agit de passer à l’ action.
Nous avons peur des conséquences de nos choix, peur de regretter, peur de renoncer, peur de quitter,…Nous pouvons rester et tergiverser pendant de longs mois pour finalement laisser nos décisions aux oubliettes.
L’audace est certainement un des éléments majeurs qui peut venir déclencher et nous faire basculer vers le premier pas. Aller vers nos choix vient souvent comme nous libérer intérieurement et nous mène vers la vie.
Focus sur ce qui est prioritaire pour toi. Choisir, c’est prioriser au regard de ce qui aujourd’hui est un besoin essentiel. Passer à l’action sur ses priorités vient libérer une charge mentale et nous remet en route vers notre essentiel.
Quels sont les 3 derniers changements dans ta vie dont tu es le plus fier ? 
Pour t’aider à passer le cap, t’encourager dans l’atteinte de tes objectifs, t’aider à la mise en lumière, te donner force et courage… Un accompagnement en coaching permet d’accélérer grandement ton nouveau départ vers la situation désirée.
Les personnes qui vous ont fait de telles injonctions souffraient probablement des mêmes frustrations et avaient sans doute déserté ces lieux d’affirmation et d’estime d’elles-mêmes.